Le 20 janvier 2017, jour de l’intronisation de Donald Trump à Washington, Bernard-Henri Lévy rencontre Philippe Roth. Et c’est en la compagnie de ce grand nom des lettres américaines que le philosophe et écrivain va passer une partie de cette extraordinaire journée, qui scella l’avènement de Trump au pouvoir.
Bernard-Henri Lévy compare les premiers pas de Donald Trump à la Maison-Blanche au « Complot contre l'Amérique » l'uchronie de Philip Roth.
Ce que dit vraiment la tragi-comédie américaine du « shutdown » : l’inconséquence stratégique de Trump face à la Chine, à Poutine, Erdogan et consorts.
Ses livres sur Daniel Pearl et les guerres oubliées font un tabac aux États-Unis et son côté « parisien », qui agace ici, séduit là-bas. Nous l’avons suivi à New York pendant son marathon médiatique, au moment où il publie en France « Récidives », un recueil de textes très personnels.
La présidence Obama sera une date décisive dans l’histoire de ce que l’on persiste, aux États-Unis, à appeler la « question raciale ».
En l'espace de quelques semaines, l'ancien président français Nicolas Sarkozy, le président sortant François Hollande et le Premier ministre Manuel Valls, jeune espoir de la gauche française, ont pris place dans le public de la pièce de BHL.
Le philosophe recommande la lecture de « Deux Étés 44 », de François Heilbronn, et de « La Compagnie des voyants », de Mathieu Laine.
Rencontre à Cape Cod avec le plus séculier des romanciers américains, l’inventeur du nouveau journalisme, l’écrivain engagé par excellence.
Il convient, à propos de la supposée « crise » entre Israël et l’Amérique, de distinguer entre deux niveaux d’analyse bien distincts.
« Peshmerga » au cinéma. Savigneau sur Philippe Roth. Houellebecq et le Brexit. Hommage à Michel Rocard et Yves Bonnefoy.
Réseaux sociaux officiels